Récits bibliques I : Buisson ardent, Tables de la Loi
Moïse qui paissait les moutons de Jethro... parvint à la montagne de Dieu : l’Horeb.
L’Ange de Iahwé se manifesta à lui sous la forme d’une flamme de feu jaillissant du milieu d’un buisson. Moïse regarda : le buisson était embrasé mais ne se consumait pas” (Ex.III,1s.)
Le Buisson, c'est l'Arbre de Vie.
Le buisson ardent II (64.5 x 40 cm) 1980.
Moïse, qui paissait les moutons de Jethro, et les avait menés par-delà le désert, parvint à la montagne de Dieu, l'Horeb.
L'Ange de Yahvé se manifesta à lui sous la forme d'une flamme de feu jaillissant du milieu d'un buisson.
Moïse regarda : le buisson était embrasé mais ne se consumait pas… Dieu dit alors à Moïse : "Je suis celui qui suis…Yahvé le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob… C'est le nom que je porterai à jamais". (Ex. III, 1,2-14, 15).
Connaitre le nom de quelqu'un, c'est pouvoir l'invoquer efficacement.
Mais Dieu ne se met pas ainsi à la merci des hommes en livrant son nom qui exprimerait son essence ; ce qui souligne la transcendance de ce Dieu que l'homme ne peut véritablement nommer.
Le Buisson, c'est l'Arbre de Vie que signale le phénix et la présence de la structure gauche-droite : lune et soleil.
Le nom qu'on ne peut prononcer, c'est YHVH.
Les chérubins ailés et couverts d'yeux (Jn, Apoc. IV, 6,7,8) annoncent la présence de Dieu et le glaive fulgurant garde le chemin de l'Arbre de Vie (Gen .III, 24). Moïse est retourné dans la crainte que son regard ne se fixe sur Dieu.
(Texte commentaire de Charles Sahuguet).
Le buisson ardent I (53 x 25,3) 1980.
Il s’agit là de l’image littérale du récit biblique : “Moïse qui paissait les moutons de Jethro, ... et les avait menés par-delà le désert, parvint à la montagne de Dieu : l’Horeb.
L’Ange de Iahwé se manifesta à lui sous la forme d’une flamme de feu jaillissant du milieu d’un buisson.
Moïse regarda : le buisson était embrasé mais ne se consumait pas” (Ex.III, 1s.).
(Texte commentaire de Charles Sahuguet).
Les 2 arbres et les 2 tables
Moïse alors s’enflamma de colère.
Il jeta les tables qu’il tenait en mains et les mit en pièces” Ex XXXII, 15, 19.
Il s’agit de la première Loi, de la Loi Messianique.
Moïse, alors, édicte une “deuxième Loi”, loi morale du Bien et du Mal.
A la première correspond l’Arbre de Vie, à la seconde l’Arbre de la connaissance du Bien et du Mal.
Vie et mort.
Droite et gauche.
Les 2 arbres et les deux tables (27,5 x 31,5) 1977.
“Iahwé remit à Moïse les 2 Tables du Témoignage, tables en pierre écrites du doigt de Dieu”.
(Ex. XXXI, 18) “Moïse prit le chemin du retour avec en mains les 2 Tables du Témoignage... Lorsqu’il fut près du camp, il aperçut le veau et les chœurs de danse.
Moïse alors s’enflamma de colère.
Il jeta les tables qu’il tenait en mains et les mit en pièces” Ex XXXII, 15, 19).
Il s’agit de la première Loi, de la Loi Messianique.
Moïse, alors, édicte une “deuxième Loi”, loi morale du Bien et du Mal.
Ces deux Lois sont le pendant de l’Arbre de Vie et de l’Arbre de la connaissance du Bien et du Mal.
Vie et mort.
Droite et gauche.
L’Arbre du Bien et du Mal est à la gauche de Moïse, en même temps que la deuxième Loi ; l’Arbre de Vie et la Loi Messianique, détruite, se trouvent à sa droite.
Les 2 Arbres sont au milieu du Jardin d’Eden, entouré par les eaux primordiales ; Moïse et la “deuxième Loi” se trouvent hors du Jardin.
La colère de Dieu (éclairs) frappe l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal.
L ’Alliance (la colombe et les rayons) surplombe l’Arbre de Vie.
(Texte commentaire de Charles Sahuguet).
Combat du taureau de lumière contre le veau d’or
Le palmier, dont la robustesse et la beauté ont fait le symbole du juste, sort de la nuée du Sinaï : Arbre de Vie.
Combat du taureau de lumière contre le veau d’or (43,5 x 25) 1977.
Le taureau est le signe de Moïse.
La Bible dit : “Lorsqu’il fut près du camp, il aperçut le veau et les chœurs de danse.
Moïse alors s’enflamma de colère.
Il jeta les tables qu’il tenait en main et les mit en pièces au bas de la montagne.
Il se saisit du veau qu’ils avaient fabriqué, le brûla, le moulut en une poudre fine dont il saupoudra la surface de l’eau qu’il fit boire aux enfants d’Israël” (Ex.XXXII,19,20).
Le palmier, dont la robustesse et la beauté ont fait le symbole du juste, sort de la nuée du Sinaï : Arbre de Vie.
(Texte commentaire de Charles Sahuguet).
