Ames et Corps
Avant de descendre dans ce monde, les âmes entrent dans le Jardin” (Zoh.I,284 b)...
L’âme mâle et l’âme femelle sont unies ensemble.
Ce n’est qu’après leur descente en ce monde qu’elles se séparent, chacune de son côté et vont animer deux corps différents, celui d’un homme et celui d’une femme” (Zohar. 85 b).
Il les créa mâle et femelle, âme et corps (60x 46) 1978.
Le Zohar dit “Une tradition nous apprend que, par la force de la volonté du Roi suprême, un Arbre puissant poussa.
Il est la plus élevée de toutes les plantes d’en haut.
Il embrasse les quatre points cardinaux du monde, et ses racines s’étendent sur un espace de 500 lieues...
A son pied sourdent les eaux créées au moment de la création se dirigent dans diverses directions : c’est de là qu’émanent toutes les âmes du monde.
Avant de descendre dans ce monde, les âmes entrent dans le Jardin” (Zoh. I,284 b)...”
L’âme mâle et l’âme femelle sont unies ensemble.
Ce n’est qu’après leur descente en ce monde qu’elles se séparent, chacune de son côté et vont animer deux corps différents, celui d’un homme et celui d’une femme” (Zoh. 85 b).
Ainsi les âmes dans l’Arbre de Vie sont asexuées : elles ne se différencient qu’en entrant dans les corps au pied de l’Arbre.
Texte commentaire de Charles Sahuguet.
“Tes morts revivront, leurs cadavres ressusciteront ;...car ta rosée est une rosée lumineuse et le pays des ombres enfantera” (Is. XXVI, 19).
Et les corps s’éveilleront (30x50) 1978.
“Tes morts revivront, leurs cadavres ressusciteront…car ta rosée est une rosée lumineuse et le pays des ombres enfantera” (Is. XXVI, 19).
“Alors la lumière de la lune sera comme la lumière du soleil et la lumière du soleil deviendra 7 fois plus forte, -comme la lumière de 7 jours- ; le jour où Iahwé pansera les plaies de son peuple et guérira les meurtrissures de ses coups” (Is.XXX,26).
“En ce jour là -oracle de Iahwé- j’ôterai du pays... l’esprit d’impureté” (Zac. XIII,2).
“Ainsi parle le Seigneur Iahwé.
Voici que j’ouvre vos tombeaux, et je vais vous faire remonter de vos tombeaux, mon peuple” (Ez. XXXVII,12).
(Texte commentaire de Charles Sahuguet).