Le Paradis Perdu
Yahvé-Dieu dit : “Voilà que l’homme est devenu comme l’un de nous, pour connaître le bien et le mal ! Et Yahvé Dieu le renvoya du Jardin d’Eden.
Arbre de Vie et épée du Chéroub, Arbre de Mort et Serpent (57 x 28,5) 1982.
“Yahvé-Dieu fit pousser du sol toute espèce d’arbres séduisants à voir et bons à manger, et l’Arbre de Vie au milieu du Jardin, et l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal” (Gen. II,9).
Celui-ci est à gauche, dans le noir de la Nuit et de la Mort ; il est dans le champ comme le serpent (le serpent était le plus rusé des animaux des champs (Gen. III,1).
La mort (crâne) s’élève au-dessus de ses branches.
“La femme vit que l’Arbre était bon à manger, désirable pour acquérir l’entendement.
Elle prit de son fruit et mangea” (Gen. III,6).
L’homme est à droite au milieu du Jardin plein de fleurs, dans la lumière, sous l’Arbre de Vie qui sort de la mort et d’où s’envole l’oiseau de la Vie ; il tend sa main droite dans la nuit pour saisir le fruit que lui tend Eve.
Iahwé posta devant le Jardin d’Eden les chérubins et la flamme du glaive fulgurant pour garder le chemin de l’Arbre de Vie (Gen. III, 24).
(Texte commentaire de Charles Sahuguet).
“Il bannit l’Homme et posta devant le Jardin d’Eden les chérubins et la flamme du glaive fulgurant pour garder le chemin de l’Arbre de Vie” (Gen.III,24).
Hors du Jardin (46 x 39,5) 1980.
“Il bannit l’Homme et posta devant le Jardin d’Eden les chérubins et la flamme du glaive fulgurant pour garder le chemin de l’Arbre de Vie” (Gen.III,24).
L’Arbre se trouve au milieu du jardin rempli de fleurs, entouré par les eaux primordiales inférieures : la colombe divine au-dessus de l’Arbre est entourée, elle, par les eaux primordiales supérieures que Dieu a séparées le 2ème jour.
“Dieu dit : qu’il y ait un firmament au milieu des eaux et qu’il sépare les eaux d’avec les eaux” (Gen.I,6).
Adam, homme et femme, encadrant le serpent, est dans le champ (ronces, chardons et pierres).
Entre lui et le jardin, le chérubin brandit le glaive fulgurant.
(Texte commentaire de Charles Sahuguet).
Le Paradis perdu (103 x 24) 1977.
“Parce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais interdit de manger, mauditsoit le sol à cause de toi! Yahvé-Dieu fit à l’homme et à sa femme des tuniques de peau et les en vêtit.
Puis Yahvé-Dieu dit : “Voilà que l’homme est devenu comme l’un de nous, pour connaître le bien et le mal ! Qu’il n’étende pas maintenant la main, qu’il ne cueille aussi de l’Arbre de Vie, n’en mange et ne vive pour toujours ! ” Et Yahvé Dieu le renvoya du Jardin d’Eden.
Il bannit l’homme et il posta devant le Jardin d’Eden leschérubins et la flamme du glaive fulgurant pour garder le chemin de l’Arbre de Vie” (Gen. III, 17..., 21, 22, 23, 24).
(Texte commentaire de Charles Sahuguet).